A vivre seul, au moins quelques années, on apprend à passer du besoin
qui ligote au désir et au rêve qui ouvrent grand l'espace en soi et autour de soi.
A vivre seul, on apprend à choisir ses relations au lieu de les supporter, de s'en accommoder. Sauvage et sociable tout à la fois,
l'individu solitaire ne se croit pas obligé d'aller à des repas
de famille, de participer à des fêtes dont les convives l'ennuient.
Et de cela il ne se sent nullement culpabilisé
parce qu'il est en accord avec ce qu'il fait.
L'esprit de solitude de -Jacqueline Kelen.-
Cela me rappelle plusieurs posts que j'ai posés sur ce sujet il y a quelques temps .^^ très vrai et approuvés ;)
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