« Je veux garder les yeux ouverts sur les souffrances, le malheur, la cruauté du monde,mais aussi sur la lumière, sur la beauté, sur tout ce qui nous aide à nous dépasser, à mieux vivre, à parier sur l’avenir »- Andrée Chedid.-
samedi 26 décembre 2015
Comme dans tout développement on pourra parler de résilience que longtemps après, lorsque l’adulte enfin réparé avouera le fracas de son enfance. La résilience constitue donc un processus naturel qui se tricote avec ses milieux écologiques, affectifs et verbaux. Chacun d’eux sont tributaires les uns des autres. Un merveilleux malheur de Boris Cyrulnik
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire