« Je veux garder les yeux ouverts sur les souffrances, le malheur, la cruauté du monde,mais aussi sur la lumière, sur la beauté, sur tout ce qui nous aide à nous dépasser, à mieux vivre, à parier sur l’avenir »
- Andrée Chedid.-

mercredi 10 mai 2017

Si vous ne renoncez à rien, vous vous abstenez de choisir. Et quand on s'abstient de choisir, on s'abstient de vivre la vie que l'on voudrait. -Laurent Gounelle.-(L'homme qui voulait être heureux).

“Plus on évolue dans sa vie, plus on se débarrasse des croyances qui
nous limitent, et plus on a de choix. Et le choix, c'est la liberté.” 
On ne peut pas être heureux si l'on se voit victime des événements ou des autres.
 Il est important de comprendre que c'est toujours vous
 qui décidez de votre vie, quelle qu'elle soit. 
“Pour moi, une nouvelle vie commençait, et, dorénavant, 
ce serait ma vie, fruit de mes décisions, de mes choix, de ma volonté. 
Adieu les doutes, les hésitations, les peurs d'être jugé, 
de ne pas être capable, de ne pas être aimé. 
Je vivrai chaque instant en conscience, 
en accord avec moi-même et avec mes valeurs.
 Je resterai altruiste, mais en gardant à l'esprit 
que le premier cadeau à faire aux autres est mon équilibre. 
J'accepterai les difficultés comme des épreuves à passer, 
des cadeaux que m'offre la vie pour apprendre
 ce que je dois apprendre afin d'évoluer.
― Laurent Gounelle.-
 (L'homme qui voulait être heureux).-





1 commentaire:

  1. Je me choisis...

    Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes.

    Je veux être respectée, écoutée, entendue.

    J’ai le droit de respirer, de me dire.

    J’ai le droit de dénoncer, de penser, de crier.

    J’ai le droit d’exister.

    Je veux vivre debout, être en paix avec moi-même.

    Je veux grandir, changer, m’aimer.

    Je veux rêver, rire, m’épanouir.

    J’ai besoin d’air, j’ai besoin de m’écouter.

    J’ai besoin de décider pour moi, avec moi,

    en fonction de mes besoins à moi, de ce que je veux faire de ma vie.

    J’en ai marre de vivre en fonction des autres pour être aimée.

    J’en ai marre de faire des courbettes pour acheter la paix ou ne pas être seule.

    Je choisis de vivre, de vivre ma vie.

    Je choisis de vivre mes sentiments, mes émotions, mes rêves, mes espoirs.

    Je veux me vivre jusqu’au bout, telle que je suis.

    Je me réserve le droit d’essayer, de me tromper,

    de recommencer, d’essayer encore et de réussir.

    Pendant la transition, j’accepte ma souffrance, ma déception.

    J’accepte mon insécurité, mon désespoir.

    J’accepte ma colère contre les autres.

    On ne m’avait rien promis.

    J’accepte ma colère contre moi, de m’être si longtemps niée et oubliée.

    Je suis en sevrage, car je sais qu’avec le temps,

    ces sentiments vont s’atténuer et disparaître, remplacés par le pardon.

    Je sais qu’avec le temps, mon cœur va guérir d’avoir mal aimé.

    Et peut-être qu’avec le temps, j’oserai à nouveau tenter l’expérience d’aimer et d’être aimée.

    - Nicole Charest - Petites douceurs pour le cœur

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