« Je veux garder les yeux ouverts sur les souffrances, le malheur, la cruauté du monde,mais aussi sur la lumière, sur la beauté, sur tout ce qui nous aide à nous dépasser, à mieux vivre, à parier sur l’avenir »
- Andrée Chedid.-

samedi 27 février 2016

Frapper un animal s’appelle cruauté, frapper un adulte s’appelle agression, frapper un enfant s’appelle éducation... O. Maurel – La Fessée.

Avec des intentions que l'on croit bonnes "qui aime bien, chatie bien",
 mais qui sont des violences éducatives, on pave l'enfer de l'enfant.
"Pour son bien" dés le plus jeune âge, on lui interdit de mettre à la bouche
 les doigts ou des objets; de pleurer ou de crier, parfois en obstruant la bouche du bèbè avec une tétine; de bouger,grimper,courir, obligeant l'enfant à une trop grande immobilité;
on retire trop vivement la tétine ou le doudou sur décision de l'adulte!
Ces interdits ou punition relèvent plus du dressage que de la vétitable éducation.


éduquer, c'est accompagner l'enfant dans ses découvertes,
 répondre à ses demandes et questions dans une relation de respect mutuel.
Il s'agit aussi de lui apprendre les interdits fondamentaux concernant le respect.éduquer, c'est respecter, traiter l'enfant comme on voudrait être traité soi-même,  ce n'est pas "lui laisser tout faire" comme il m'est dit souvent, par une déduction abusive.
si la maltraitance est aussi répendue, c'est qu'on l'utilise par facilité:
 il est plus aisé d'opprimer et de réprimer, surtout par lassitude,
que d'éduquer car, comme le disait Michel Lemey " être parent,c'est apprendre, chaque jour, à distinger entre la fermeté et la violence".
Alice Miller. ( c'est pour ton bien.)




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